Exigences requises pour exporter au Japon

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Savez-vous quelles sont les exigences requises pour exporter au Japon ? Nous pouvons affirmer avec certitude que les produits élaborés en Espagne se révèlent très attractifs pour le Japon. De fait, toute notre culture éveille son intérêt et beaucoup d’entreprises peuvent y trouver un marché international où elles peuvent être consolidées. Ce pays asiatique, si hermétique auparavant, est en train de montrer un intérêt croissant pour tout ce que l’Occident a à lui offrir. Si vous voulez faire partie intégrante de ce marché, nous vous expliquons dans ce post comment le faire.

Exporter de l’huile d’olive au Japon.

Mettons sur le marché un produit paradigmatique espagnol qui peut faire office d’exemple pour tout le processus qu’il faut initier : l’huile d’olive. La gastronomie est un emblème de l’Espagne au niveau international et l’huile d’olive, l’un des produits phares. Mais que devez-vous faire pour le vendre au Japon ?

1. Contrôles d’hygiène

Le pays d’origine (en l’occurrence l’Espagne) doit certifier que tout ce que vous êtes en train d’offrir satisfait toutes les normes en vigueur en matière d’hygiène et de santé. Les Japonais sont spécialement méticuleux en la matière ; c’est pourquoi, ils ont un niveau d’exigence élevé auquel il s’agit de répondre. En ce sens, vous devez contrôler que toutes les exigences requises sont satisfaites dans chaque point de fabrication ou de transport et justifier cet état de fait avec la documentation appropriée.

2. Une matière première de qualité

Cet aspect est fondamental dans le cas des produits alimentaires, bien qu’il faille répondre à des formalités administratives semblables pour n’importe quel élément. L’idée est de garantir l’origine, le traitement et la salubrité de tout ce que vous avez employé. De nouveau, il s’agit d’une paperasse importante mais elle vous sera très utile pour accélérer tout le processus au Japon et attester la transparence de votre entreprise.

Le caractère plus réservé de la société japonaise se reflète également dans sa manière très fermée et culturellement unique de faire des affaires. Dans ce contexte, justifier dans les moindres détails tout ce que vous êtes en train de vendre jouera en votre faveur.

3. Ne pas utiliser des éléments qui sont interdits

Tout comme il existe des produits américains qui ne peuvent pas être vendus en Europe, il y a d’autres produits, que ce soit pour l’usage de pesticides ou de produits chimiques, qui ne sont pas légaux dans le pays nippon. Par conséquent, il est opportun de vous rappeler qu’il faut justifier correctement, avec la documentation nécessaire, tous les éléments chimiques utilisés dans vos produits.

4. Compter sur la certification JAS

Les sigles JAS (Japanese Agricultural Standard) font référence à un document avec lequel vous certifiez que vos produits répondent parfaitement aux critères japonais d’agriculture durable.

Comment préparer des accords commerciaux avec les entreprises

L’internationalisation de votre entreprise au Japon n’est pas très éloignée de celle de n’importe quel pays du continent asiatique. Vous devrez faire une étude de marché, compter sur des distributeurs et fixer une série de prix qui soient compétitifs et puissent garantir l’accès d’un public spécifique à votre marché. Toutefois, il y a quelques facteurs qui sont d’une grande importance.

S’adapter à leur manière de faire des affaires.

Au pays nippon, la les rencontres en personne sont un facteur clé à l’heure de conclure des accords. Par conséquent, essayez de maintenir des liens en vue d’amplifier les discussions avec des distributeurs, de forger des alliances et d’obtenir un créneau sur le marché. Prenez en considération que leur culture entrepreneuriale est très sacrifiée et possède une forte composante marquée par les rencontres en personne. Si vous souhaitez voir votre projet triompher, vous devrez respecter ce type de coutumes.

Bien comprendre le saut culturel.

Bien évidemment, cela n’a aucun sens de vouloir vendre au Japon si vous n’avez pas analysé en premier lieu l’impact de votre produit dans leur culture. Si vous essayez d’introduire des éléments que vous connaissez plus ou moins, vous aurez moins de problèmes. Même dans ce contexte, il est néanmoins nécessaire que vous meniez à terme un travail de recherche. N’oubliez pas que les manières de communiquer votre marque et d’entrer en contact avec votre public seront complètement différentes. Ces stratégies de vente au Japon doivent faire partie de votre fil conducteur.

La nécessité de compter sur une équipe bilingue.

Pour toutes les formalités, les paperasses, les réunions et les courriers, il est par ailleurs indispensable de compter sur une équipe formée qui peut traduire du castillan vers le japonais tous les documents nécessaires. Seuls les traducteurs ayant un niveau élevé dans les deux langues seront à même de satisfaire correctement toutes les exigences et d’établir les certificats que vous demande la bureaucratie japonaise. De cette manière, votre entreprise sera plus transparente et les possibilités de triompher augmenteront.

À l’heure de faire des affaires internationales, une équipe de traduction professionnelle garantira que la communication soit la plus adéquate. Si par exemple vous vouliez vendre depuis la France ou l’Allemagne, vous devriez également compter sur une équipe capable de traduire du français vers le japonais ou de l’allemand vers le japonais.

Maintenant que vous connaissez les exigences requises pour exporter au Japon, il vous reste simplement à choisir une entreprise de traducteurs professionnels. Chez blarlo, vous pourrez disposer d’un réseau de traducteurs ayant un niveau élevé dans les deux langues. Contactez-nous !

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